C’est
abrüpt.
Le mot se disperse dans l’obscur, et il ne nous reste plus que des
livres
à jeter au monde pour
manifester
rêves et hurlements. Nous nous
organisons
autour de textes qui s’agitent et se révoltent, s’altèrent en
antilivres,
s’échouent
en partage.
Nous fabriquons de la transdialectique et trafiquons du
papier
, nous prenons note d’une cyberpoétique dont le verbe fomente
l’erreur
au cœur du réel. Il bruit. Nous sommes
à l’écoute.
Marc Verlynde
Lit souvent, écrit parfois surtout pour s’inventer des
viduités
.
~/Crevel, Cénotaphe/*
~/L’Épreuve de l’individu/*
~/Un vide, en Soi/*